Les filières de l’informatique connaissent une progression continue, grâce notamment aux nouveaux créneaux porteurs que sont le cloud, le big data, la mobilité et les réseaux sociaux. En France, le marché devrait atteindre un chiffre d’affaires de 56,4 milliards d’euros en 2018, selon le tout dernier rapport de Syntec Numérique. Au niveau des recrutements, entre 55 000 et 60 000 personnes devraient être embauchées d’ici la fin de l’année, et 30% des postes à pourvoir « peuvent » accueillir des jeunes lauréats non-expérimentés. L’IPI vous propose son top 3 des métiers de l’informatique qui continueront à recruter massivement dans les années à venir !
Il traduit les demandes du client en solutions informatiques. Il est en mesure de superviser les différentes phases de la mise en œuvre d’un projet. Il est à même de proposer des solutions, d’élaborer un budget, de comprendre et de maîtriser l’impact économique de ses actions, tout en intégrant une démarche de qualité dans ses choix.
Il assure la mise en oeuvre des mesures d’accompagnement du changement en matière d’organisation du travail et de la formation des utilisateurs.
Le chef de projet informatique se doit de posséder des compétences à la fois techniques et managériales.
Il est particulièrement recherché dans les ESN (Entreprises de Services du Numérique), mais aussi dans les entreprises utilisatrices : banques, assurances, télécommunications…
L’IPI propose sa formation 2e Cycle IT Project Manager aux étudiants qui aspirent à piloter un projet informatique, exercer des fonctions de cadre supérieur ou encore diriger une entreprise informatique.
En général, le développeur conçoit des sites informatiques sur mesure ou propose des solutions techniques pour améliorer un site existant après avoir analysé les besoins de ses clients. Il peut également assurer le suivi des sites et en assurer le bon fonctionnement pour éviter les éventuels manques à gagner. Le développeur web peut être un technicien ou un ingénieur polyvalent capable de rester opérationnel dans un environnement volatile, en intégrant les nouveaux concepts et langages de programmation dans une démarche de formation continue volontaire. A côté de son activité principale, il peut concevoir des notices techniques d’installation et des guides destinés aux utilisateurs. La maîtrise des langages de développement web (PHP, SQL, Java, ASP…), les CMS (systèmes de gestion de contenu) et autres frameworks est nécessaire pour se lancer dans une carrière de développeur.
Cela dit, avec l’hégémonie des terminaux mobiles, les développeurs ont logiquement investi le smartphone. Le métier de développeur web mobile crée (ou adapte) pour le smartphone et la tablette. Quel que soit le développeur que l’on est, le métier exige une formation de qualité. Le salaire mensuel débutant oscille entre 2 000 à 2 500 €.
Pour mieux faire face aux enjeux de la transformation digitale, les entreprises misent sur des profils qui associent compétences techniques relatives à l’infrastructure et une maîtrise des problématiques applicatives. Sous l’appellation DevOps, on retrouve un administrateur système et un développeur réunis en un même métier. Une double compétence qui lui permet de s’occuper des tâches techniques de développement, mais aussi de la gestion de diverses équipes avec des priorités différentes. Il faut au moins une spécialisation en informatique (Bac +5) et quelques années d’expérience en tant que développeur pour espérer occuper le poste. Le DevOps étant une denrée rare sur le marché français, le salaire peut en conséquence varier entre 45 000 à 60 000 € par an en moyenne, selon l’expérience et la taille de l’entreprise.
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